Transformers 3 : Dark of the Moon

Oui j’ai décidé de lever mon embargo sur Transformers 3 pour cause de non-présence de Megan Fox. Tout arrive. Et c’est donc une grosse claque visuelle et sonore que ce troisième volet de la saga, l’archétype même du terme « blockbuster ». Tout est plus grand, plus lourd, plus puissant, plus bruyant.

Les deux camps (Autobots et Decepticons) se livrent bataille directement sur la Terre à la vue de tous, après la découverte de dispositifs permettant de réveiller ou plutôt recréer des robots « à la volée », tout cela grâce à un vaisseau qui s’est échoué sur la face cachée de la Lune dans les années 60 et qui va conduire Russes et Américains à la conquête de notre astéroïde en 1969. Ah oui, on ne fait de pas détail dans la réécriture de l’Histoire, c’est ça aussi Transformers.

Pour résumer, ne faites pas l’innocent : vous savez pertinemment à quoi vous en tenir quand vous lancez Transformers 3. Il n’y aura pas de surprise, ça ne va pas se métamorphoser d’un seul coup en film d’auteur qui vous permettra de briller dans vos prochaines conversations mondaines. Vous allez plutôt en avoir plein les yeux et les oreilles jusqu’au bout. En fait, pour les amateurs, ce troisième volet dépasse largement le précédent et c’est très agréable de retrouver ses repères.

4 / 5