Pour éviter les spoilers, nous dirons simplement que la fin de la Saison 3 de PEAKY BLINDERS fut le meilleur cliffhanger de toute la série, mais aussi la meilleure surprise, le plus gros revers, le plus grand choc. Cillian Murphy, dans la scène finale de cette Saison 3, y a révélé son énorme talent d’acteur faisant basculer le ton et l’ambiance en un claquement de doigts, en une posture. Le spectateur à l’aise à tel moment, est devenu pris à la gorge quelques secondes après. Alors, dans quelle situation allons-nous retrouver la famille Shelby en cette fin d’année 2017 ?
En effet, le tournage de la Saison 4 a débuté en Mars dernier. Cillian Murphy est évidemment de la partie, il a même donné son accord pour la Saison 5 commandée par la BBC. Steven Knight, créateur et scénariste de la série, peut alors se faire plaisir. Surtout que tout le casting secondaire constituant la famille Shelby a signé pour la Saison 4 (dont les excellents Helen McCrory, Finn Cole, Sophie Rundle, Paul Anderson, Joe Cole, Aimee-Ffion Edwards).
Mais les plus grosses attentes sont aussi du côté du casting des invités. Steven Knight a toujours su faire venir de grands noms du cinéma et de la télévision dans sa série. On ne peut que se souvenir des apparitions de Sam Neill, de Annabelle Wallis (dont l’absence va marquer la série à jamais), de Alexander Siddig et de Paddy Considine.
Pour la Saison 4, PEAKY BLINDERS pourra compter sur les nouvelles arrivées flamboyantes de Adrien Brody (La Ligne Rouge, Bread and Roses, Le Pianiste, King Kong 2005, A bord du Darjeeling Limited, Minuit à Paris), de Aidan Gillen (The dark knight rises, Shadow dancer, Sing Street, The Wire, Game of Thrones) et de Charlie Murphy (Misfits, Philomena, Ripper Street, The village, ’71, Happy valley). La Saison 4 aura donc, encore une fois, un casting cinq étoiles.
Surtout qu’il faudra aussi compter sur le retour de Charlotte Riley (la propriétaire de chevaux de courses nommée May Carleton – saison 2) et sur celui de Tom Hardy (Alfie).
Je ne sais pas vous concernant, mais à Onlike, on a hâte.