Taken

De la Californie à Paris, Liam Neeson passe en mode « traque mortelle » et va tout faire pour retrouver et libérer sa fille qui a été kidnappée par des Albanais (les vilains) pour être vendue, prostituée, droguée… tout un programme. Voici Taken.

Car Bryan Mills (Liam Neeson donc) n’est pas n’importe qui. Ancien agent de la CIA, le monsieur est super entraîné et même à la retraite, il n’a rien perdu de sa hargne. Non vraiment rien. Affuté, déterminé, violent, Mills va s’affranchir de toutes les lois et conventions (surtout à Paris, il a raison) pour remonter la filière albanaise. Avec un certain succès, vous vous en doutez. Les cadavres s’empilent sur son passage, au grand dam des autorités. Et la capitale française est à l’honneur, avec ses coins chauds (Porte de Clichy, Rue de Paradis, Île Saint-Louis…) et ses milieux dans l’ombre.

Taken est une belle démonstration de force. Rapide. Efficace. On y trouvera deux bémols : une fin qui laisse désirer et — horreur — une suite, Taken 2, qui égratigne le principe. C’est bête.

4 / 5